Réflexions philosophiques
N’apparaît-il pas cohérent qu’une campagne qui défend la pertinence de la philosophie encourage la réflexion philosophique? Dans cette section, vous trouverez différents sujets sur lesquels réfléchir et échanger!
Mais attention : les commentaires et les dialogues se devront d’être respectueux et bien écrits. Autrement, nous nous gardons le droit de les supprimer. Le dialogue philosophique est un échange rationnel constructif, et non une guerre d’insultes comme nous trouvons trop souvent sur Internet.
Si vous souhaitez nous suggérer des sujets de réflexion, vous pouvez nous envoyer un texte d’entre 200 et 600 mots (incluant une dizaine de questions pour inspirer la réflexion) à contact@philophobie.com en mentionnant « Exercice philosophique » dans l’objet.
Bonne visite!
Sujet 1 : Philosophie politique – L’Économie
La philosophie politique, qui étudie notamment les notions de bien commun et de justice, est sans doute une des branches les plus importantes et les plus populaires de la philosophie. Mais aujourd’hui, il est difficile de réfléchir sur ces deux sujets sans en aborder une troisième : l’économie. En ce moment, quel rôle détient ce concept dans le discours politique? Croyez-vous qu’une différente conception du rôle de l’économie pourrait affecter l’agenda politique?
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Sujet 2 : Philosophie métaphysique – La connaissance de soi
La métaphysique, qui renvoie à la recherche des causes premières et des lois qui vont « au-delà » de la physique (physique = Phusis = Nature), est sans doute la branche de la philosophie qui fait le plus peur. Quant à la connaissance de soi, elle est au contraire un des thèmes les plus populaires et les plus appréciés de la philosophie. En quoi ce sujet connu de tous est- lié à la branche de la philosophie crainte par tous? Dans quelle mesure sommes-nous « à connaître » ou « à construire »?
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Sujet 3 : Philosophie esthétique – La beauté d’autrui
La philosophie esthétique porte sur une de nos expériences les plus intuitives et les plus universelles : celle du « beau » et du « laid ». Quand cette expérience est vécue à la vue d’un être humain, elle est souvent liée à l’amour et à la haine. Pour aimer une personne, au fond, il faut trouver qu’elle est « belle ». Pareillement, haïr quelqu’un signifie que l’on voit du « laid » chez lui. Mais est-ce qu’une question de subjectivité, ou peut-on supposer une part d’objectivité dans la beauté?
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